Youscience est une association de loi 1901 ayant pour but de promouvoir et de vulgariser les sciences. Fondée en 2021, l’association vise à favoriser l’accès aux sciences et aux connaissances techniques.
Youscience met en oeuvre des actions qui viseront à réduire la fracture numérique pour les enfants, les jeunes élèves et étudiants pour lesquels l’accès aux outils informatiques est désormais primordial dans leurs formations. La fourniture de matériels informatiques aux travers des dons constitue un grand volet des actions conduites par l’association.
Youscience soutient activement l’enseignement, l’éducation, la formation en France.
Au nom du droit fondamental de chacun à l’éducation, à la formation, à communiquer, Youscience prône la réduction de la fracture numérique, cette derniére sources d’inégalités multiples, le développement des économies sociales et solidaires. Si rien n’est fait, le fossé et les déséquilibres socio-économiques séparant les pays en développement aux pays hyper-numérisés continueront à se creuser et à s’aggraver. C’est ce constat qui ressort du premier rapport sur l’économie numérique publié par la CNUCED (Conférence des Nations unies sur le Commerce et le Développement).
La force de l’association Youscience réside dans son ADN : Une action solidaire en faveur des sciences pour tous. Plusieurs défis socio-économiques et environnementaux se posent aujourd’hui à l’homme. Les sciences se positionnent comme acteur majeur pour l’amélioration de la vie de l’homme, la préservation de l’environnement, ainsi que la santé et la sécurité de tous. Mais pour cela, il faut pour tous, satisfaire aux besoins d’éducation, de formation.
Les actions de Youscience visent aussi à favoriser les échanges et partenariats entre l’Europe et l’Afrique. Rappelons qu’encore au début du siècle, les pays africains étaient encore les seuls à connaître un taux de scolarisation dans le primaire inférieur à 60 % et aussi que 25 % des adultes analphabètes dans le monde vivent aujourd’hui en Afrique subsaharienne contre 20 % il y a quinze ans.
En France, selon une étude de l’Insee de 2019, l’« illectronisme » touche 16,5 % de la population française. Voire 20 % – soit 13 millions de personnes –, si l’on se fie à une audition de Jacques Toubon, ancien Défenseur des droits, devant une mission d’information sénatoriale en mai 2020.
Il faut donc contribuer à rééquilibrer la balance, parce qu’aussi le développement du potentiel humain de l’Afrique ou dans les milieux défavorisés en France profitera en premier lieu aux africains eux mêmes, mais aussi au vieux continent européen.
L’accès aux multitudes ressources numériques, notamment disponibles sur internet n’est pas aujourd’hui une réalité pour tous. Au total, 53 % de la population mondiale n’utilisait pas internet en 2016 (22 % des Européens, mais 75 % des Africains) ; ces exclus du monde numérique global sont lourdement pénalisés, depuis leur employabilité jusqu’à leur citoyenneté. Mais aussi, il faut signaler que l’éducation et la formation s’appuient aujourd’hui grandement sur des moyens informatiques dont il faut donc nécessairement disposer.
Enseignant-chercheur, le partage, la solidarité et l'échange ont toujours compté pour moi.
J’appuie et assiste l'ensemble des actions conduites par le Président vis-à-vis de qui je suis un proche collaborateur. J’ assure différentes missions au seins de l’association.